Une plaque a été ajoutée ce 11 novembre, il s'agit d'honorer Joseph Lucien BICHET, un enfant de Suriauville mort pour la France dans la guerre du Rif, au Maroc, en 1925
L’association pour la Mothe a le plaisir de vous informer de la publication du n° 13 de sa revue Les Cahiers de La Mothe.
Sommaire
La seigneurie et la maison seigneuriale d’Outremécourt 3 Jean CHARLES
La famille de Lisle 31 Dr Anthony CHAMARANDE
La Mothe dans les Archives Anciennes de la ville d’Épinal, en 1645 57 Lucette HUSSON
La peste en Bassigny aux 16e et 17e siècles 63 Jean CHARLES
Le fief de la Maison des Champs à Vrécourt (16e-18e siècles) 75 Antoine de LAVAULX
La géolocalisation à La Mothe 87 Jean-Claude CARTERET
Le foyer protestant de Clinchamp en Bassigny et l’étonnante fortune de la famille Jacquemart au 17e siècle Jean-Luc VOLATIER 91
À quelques lieues de La Mothe, l’abbaye Notre-Dame de Flabemont pendant les guerres 103 Jean-François MICHEL
La famille Thouvenel à La Mothe et en Bassigny 111 Jean CHARLES La revue est déposée :
- A Bourmont, « Au petit local », 63 faubourg de France
- à Nancy, librairie Dornier, 74 grand-rue (uniquement l’après-midi)
- à Nancy, Hall du Livre, 38 rue Saint-Dizier
- à Vittel, maison de la Presse, 220 rue de Verdun
Prix du n°: 15 €, ou par correspondance auprès de Jean CHARLES, 3 rue Victor Hugo, 67204 ACHENHEIM : 20 € (participation aux frais de port comprise)
Native de Suriauville, Justine RACLOT vient d'être honorée par sa commune d'origine via un monument érigé devant l'entrée du cimetière, route de Contrexéville. . .
ouvrit la voie aux congrégations religieuses en Extrême-Orient.
Née le 9 février 1814 à Suriauville, Marie-Justine RACLOT entra dans la communauté apostolique des Sœurs de l'Enfant Jésus (Saint-Maur) le 19 mars 1835. Après un apostolat en Languedoc, elle partit pour la Malaisie où elle arriva le 5 février 1854. Après un long séjour à Singapour, elle fut envoyée au Japon, d'où les religieuses étrangères étaient depuis longtemps bannies. Elle fut ainsi la première religieuse à entrer au Japon en 1872 et y demeura pendant toute l’ère Meiji (1868-1912). Sa mission première fut de s’occuper d'orphelins et de pauvres, et en particulier de jeunes filles, souvent destinées à la prostitution. Son caractère entreprenant et décidé a laissé une forte marque au Japon, et de nombreux Japonais viennent à Suriauville visiter les lieux de son enfance. Elle est décédée le 20 janvier 1911 à Yokohama (Japon).
En août 2014, plus de trente Japonais, membres de la communauté de l'école Futaba à Yokohama, étaient à Suriauville pour visiter le village natal de leur fondatrice. Accompagnés d'une interprète, ils ont visité sa maison natale, l'église où elle fut baptisée, et le cimetière où sont inhumés ses ancêtres.
Ils ont ensuite apposé une plaque sur l'église :
Depuis, tous les ans, une délégation, venue du Japon ou de Malaisie, vient marcher sur les traces de Mère Mathilde en visitant son village...
聖母マチルダ、 19世紀に日本での宗教の宣教師、 極東の宗教の会衆のために道を開いたSeibo Machiruda, 19 seiki ni Nihon de no shūkyō no senkyōshi, Kyokutō no shūkyō no kaishū no tame ni michi o aita